
La transition numérique passe à sa vitesse de croisière sous l’impulsion d’Abdel Aziz Ould Dahi
Le pouvoir du président Ould Ghazouani a vu juste en portant son choix sur Abdel Aziz Ould Dahi, pour diriger le département vital de la Transition numérique, de l'Innovation et de la Modernisation de l'Administration, et sur les épaules duquel, repose le défi de relever la course effrenée et sans merci au numérique, qui ne permet pas de retard et appelle à une mise à jour régulière, réalisée avec dextérité, tout en tenant compte des imprévus technologiques dont les grands bonds de l’avant dans cette nouvelle dimension du développement des Nations.
Certes, Abdel Aziz Ould Dahi, a été constamment un bon ministre dans les différents gouvernements qui se sont succédés, au cours des dernières années, plus précisément à partir de 2007 où il fut son entrée dans le gouvernement, en sa qualité de Ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration.
Ce qui sous-entend évidement une mission confiée à l’homme, de combler le grand retard informatique et numérique de l’administration publique mauritanienne par rapport à un monde où la bureautique traditionnelle ne suivait plus le rythme de développement et empêchait le pays d’avancer et d’emboiter le pas aux pays développés.
Le choix d’Abdel Aziz était pertinent, eu égard à sa riche expérience couronnée d’éclatants succès, comme chargé de Mission, Directeur du Centre Internet du Gouvernement - Secrétariat d’Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles, Coordinateur national du projet « Passage informatique à l’an 2000 » - Ministère des Finances et Directeur du Centre internet de l’Administration - Secrétariat Général du Gouvernement.
Ould Dahi a suscité depuis l’admiration de tous les Présidents et chefs du gouvernement qui se sont succédés, parvenant à entretenir sa réputation et à maintenir son siège au sein d’un l’appareil Exécutif très instable voire très changeant et où il a brillé, réalisant des bilans satisfaisants, partout où il a été nommé.
Bardé de diplômes supérieurs et académiques dont un Master E-gouvernance – Ecole polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse, d’une Maîtrise d’Informatique de Gestion – Université d’Orléans en France et d’un AEA Informatique – UCAD – Sénégal, Abdel Aziz était très sollicité pour mettre de l’ordre et lancer de manière irréversible sur la rampe de l’excellence, tour à tour, la CNAM et la BCM.
Ce qu’il réussit aussi avec brio, prouvant tant ses qualités de technocrate mais aussi de Monsieur propre.
Mais, à défaut de trouver des hommes qu’il faut pour occuper les places qu’il faut, pour ce qui concerne, le département ministériel vital de la Transition numérique, de l’Innovation et de la Modernisation de l’Administration, le gouvernement qui avait déjà testé les performances d’Abdel Aziz, était contraint de le nommer à la tête de ce nouveau département, lequel n’a pas tardé à s’engager résolument dans la voie du succès, voire même de se rapprocher inéluctablement de sa vitesse de croisière.
En atteste, l'agenda numérique de la Mauritanie 2022-2025, récemment objet d’un atelier de travail organisé au profit du personnel du ministère de la Transition numérique, de l'Innovation et de la Modernisation de l'Administration.
Objectif : favoriser la communication interne, la collaboration étroite entre les employés, à unir leurs efforts et à travailler dans un esprit d'équipe, afin d'atteindre les objectifs stratégiques fixés.
C’est cela se mettre intérieurement en bon ordre pour assurer un travail collectif harmonieux et cohérent pour se mettre au travail afin de réaliser lentement mais surement les objectifs visés.
C’est aussi ce que dit le ministre Ould Dahi, selon lequel, l’atelier s'inscrit dans le cadre d'un style administratif incitatif, conjuguant le pourvoi du capital humain des compétences nécessaires et outils indispensables pour arriver à des performances qualitatives et idéales, avec l'adoption d'une vision participative claire en matière de planification, de mise en œuvre, de gestion, de suivi et d'évaluation.
« La rencontre permet, également, de se doter des moyens appropriés pour la construction d’un avenir radieux et couronné de succès et d’acquisition des mécanismes capables de créer des partenariats durables et confortables pour les deux parties », a affirmé Abdel Aziz.
Il y a lieu de souligner à propos de cette révolution du numérique qui souffle sur la Mauritanie sous l’impulsion de Ould Dahi, la signature à Dubaï en janvier dernier, de protocoles d’accord avec des entités spécialisées en développement technologique. Il s’agit des entreprises Talent Africa SA et de l’Alliance émiratie Technical Solutions et Serdal Limited.
Et qui d’autre peut mettre en exergue le mieux l’importance du département de la transition numérique que Ould Dahi en personne, qui n’a pas manqué, dans le cadre des festivités commémoratives du 61e anniversaire de la fête de l’indépendance de rendre un vibrant hommage au président Ould Ghazouani et à son gouvernement en créant ce département vital.
« La mise en place d'un secteur ministériel en charge de la numérisation est la preuve d’une grande prise de conscience des changements fabuleux que connaît actuellement l'humanité », avait-il affirmé.
« Cela représente une œuvre pionnière innovante, qui traduit une réflexion stratégique, transformant les contraintes et défis de cette étape, en opportunité pour faire un grand bond en avant », ajoute-t-il.
En s’exprimant ainsi le ministre jure de ne ménager aucun effort pour matérialiser les attentes placées en lui en le choisissant pour mener la transition numérique vers l’excellence et la compétitivité.