L’Assemblée nationale mauritanienne, unique chambre au Parlement, a approuvé, au terme d’une séance plénière ce matin à Nouakchott, le budget initial 2018 à 518.426.394.000 ouguiyas, soit environ 1,4 milliard de dollars.
Alakhbar - Des sources officielles ont revelé les noms de certains hommes d’affaires mauritaniens, qui devront être portés, le jeudi 28 décembre courant à Nouakchott, dans le bureau de l’Union Nationale des Employeurs de Mauritanie (UNEM), à élire, sur instruction du gouvernement.
Les autorités publiques notamment monétaires mènent depuis quelques jours, une large campagne pour rassurer les détenteurs des capitaux et les citoyens sur le maintien de l’ouguiya de sa valeur, malgré le saut d’un « zéro », de sa valeur nominale d’antan.
Akhbarw - Le ministre de l'économie et des finances Moctar Ould Diay doit restituer 500 millions ouguiyas environ, au Trésor Public, ont affirmé des Oulémas, qui se sont fondés sur cette fatwa, en se basant sur les aveux du ministre sur la très controversée caisse noire.
La presse privée version papier n’a pas connu de parution depuis une semaine en Mauritanie “à cause d’une pénurie de papier” au niveau de l’imprimerie nationale, selon le Rassemblement de presse mauritanienne (RPM) qui regroupe une trentaine de titres.
Le référendum sur la Constitution organisé le 5 août dernier et les modifications apportées sur la monnaie, l’ouguiya, et annoncées le 28 novembre dernier auront été les deux principaux évènements marquants de l’année 2017 en Mauritanie.Le référendum a permis d’approuver sur des questions de grand intérêt dans le pays, comme notamment la suppression
La Mauritanie changera l'unité de sa monnaie, à partir du 1er janvier. 10 ouguiyas, la monnaie nationale... vaudront 1 ouguiya et 1 euro qui vaut aujourd'hui 450 ouguiyas, au 1er janvier, en vaudra 45. De nouveaux billets seront émis, mais la devise ne change pas de nom.
Voir ci-après le déroulé des temps forts de la journée culturelle organisée par l’association ARMEPES-FRANCE et ses partenaires du forum GANBANAAXUN FEDDE. Vous lisez en textes, le discours inaugural du vice-président FOFANA Samba et d’un mot de remerciement du secrétaire général adjoint DIALLO Cheikh.
Le pardon est une des clés du Paradis. En effet, avoir un bon cœur, penser du bien des autres, accepter les excuses, pardonner les erreurs, retenir sa colère et pardonner aux gens, sont les choses les plus importantes auxquelles l’Islam exhorte dans les relations des musulmans entre eux.