« La Force conjointe n’est pas opérationnelle à 100%. Etre prêt à 100% n’existe pas dans notre jargon. Mais la Force conjointe a déjà la capacité qui lui permet de mener des opérations. Les opérations ont commencé depuis le 15 janvier. Et aujourd’hui, ces opérations se mènent dans l’ensemble des fuseaux et tout se passe dans de bonnes conditions.
L’ancien président mauritanien Maouya Ould Sidi Ahmed Taya est apparu dans une photo avec la journaliste mauritanienne basée au Qatar, Aïcha Sidi’Ahmed.
Un Sahraoui, résident à Laâyoune, a fait une tentative d’immolation par le feu ce samedi au passage d'El Guerguerate. «L’état de santé du jeune S. L. est très grave. Il a été évacué d’urgence vers un hôpital de Dakhla», nous confie une source dans la ville. En revanche, des médias au Sahara annoncent déjà sa mort.
Née en 1903 à Bucarest, Vera Renczi est une jeune femme courtisée. Possessive et jalouse, elle suspecte son premier époux avec qui elle se marie en 1920, un riche homme d'affaires, de la tromper. Pour se venger, elle verse de l'arsenic dans son verre de vin avant de faire disparaître le corps.
Le Conseil des Ministres s'est réuni le Jeudi 31 janvier sous la Présidence de son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République.
Le Conseil a examiné et approuvé le deux projets de lois suivants :
Aqlame - Consciente des dangers, des défis et des menaces auxquells le pays est confronté;
Compte tenu des aspirations du peuple mauritanien en matière de renforcement de la démocratie, de la paix et de la justice, afin de préserver l’identité, le territoire et les personnes,
Le Conseil des ministres s’est réuni, jeudi matin au palais présidentiel à Nouakchott, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République
L’annonce du décès tragique de Rotana et Talea Farea dans l’eau glaciale de l’Hudson River, à New York, avait provoqué, le 24 octobre dernier, une forte onde de choc émotionnel sur les réseaux sociaux saoudiens, les internautes se perdant en conjectures et querelles stériles, mais refusaient de croire pour la plupart d’entre eux à l’impensable : un g