Le scandale provoqué, dans la presse marocaine, par l’ex-première dame, Tekeiber Mint Ahmed, qui est une petite intrigante, dont les hauts faits feraient rougir une Leila Trabelsi, une Imelda Marcos, et même les Klephtes, pourtant parangons du genre, ce scandale est énorme!

Une délégation parlementaire algérienne invitée à la Conférence européenne des président.e.s de parlement organisée à Athènes a refusé de s’assoir derrière la délégation israélienne.

Le format dit de “tables rondes” pour la reprise des négociations sur le Sahara occidental, auquel fait référence le projet de résolution sur la prorogation de la Minurso est “inefficace et  contre-productif”, a réitéré, jeudi, la délégation algérienne à New York. 

 « D’abord, sur certaines  terminologies  nous ne sommes pas d’accord. Moi, je n’ai j’ai jamais  parlé de « réconciliation » nationale. Mais je parle « d’unité » nationale.  Et à mon avis il y’a une différence.»

Un immense feu de brousse a éclaté jeudi dernier, dans la moughataa de Bassiknou dans la wilaya du Hodh Charghi. Il s’est étendu du village de « Librini », situé à 12 kilomètres au sud-est de Bassiknou, au village de « Ahl Bati », à 30 kilomètres au nord de l’arrondissement administratif de Fassala.

 La campagne,ou plus précisément la pré- campagne pour la présidence de l’Union nationale du patronat mauritanien, UNPM, bat son plein actuellement en Mauritanie.

Un jeune homme de 22 ans, originaire de la Thaïlande, a été électrocuté à mort alors qu’il chargeait son téléphone portable au lit.

Le Conseil des ministres s'est réuni le vendredi 15 octobre 2021sous la présidence de Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani, Président de la République.

Le Conseil a examiné et approuvé le projet de loi portant Loi de Finances pour l’année 2022.

Le Conseil des Ministres s’est réuni, ce vendredi 15 octobre courant, à Nouakchott, sous la Présidence de Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Président de la République

Depuis la nuit des temps, il existe toujours ce bras de fer entre les femmes légitimes et les maîtresses (2e bureau comme on dit à Kinshasa), et c’est tout à fait normal parce que les femmes légalement mariées ou les premières ne veulent pas perdre leur place.

A ce propos, voici ce que pensent 10 femmes des maitresses :

Sandra M.