
Monsieur le président, permettez-moi avec toute la délicatesse de vous rappeler qu’en rédigeant cette lettre ouverte j’ai eu deux sentiments contradictoires sur la politique africaine de la France : Primo, refuser de patauger avec vous dans la même boue où vous vous vautrez tout au long de vos discours sur l’Afrique ; Secundo, vous répondre point par