Le Roi Mohammed VI et la Princesse Lalla Salma cibles de mauvaises rumeurs

sam, 28/09/2019 - 15:53

C’est toujours les mêmes: Trois sites aux intentions ouvertement malveillantes propagent depuis plusieurs mois de nombreuses fake news sur la famille royale, allant jusqu’à pousser Éric Dupont-Moretti à brandir contre eux la menace de poursuites pour diffamation et diffusion de fausses informations.

  Ce sont principalement trois sites en ligne qui, depuis plusieurs mois, rivalisent en imagination dans la diffusion de fausses informations à propos de la famille royale marocaine. 

   Il ne se passe, en effet, pas un seul jour sans que ces sites sortent une rumeur appuyant les précédentes en les amplifiant essayant par là de leur donner du crédit.

  Les trois sites en question semblent  dotées de véritables machines de propagande travaillant sans relâche à essayer de salir l’image de la monarchie marocaine usant de deux principaux vecteurs : La rumeur et le mensonge.

  Deux techniques de propagande assez rodées qu’ils empruntent aux nazis et à leurs théoriciens . 

   Le nerveux à petite moustache, qu’on s’en rappelle, disait à ce sujet : 

  « Un mensonge répété dix fois reste un mensonge ; répété dix mille fois il devient une vérité.  » 

  Goebbels, son ministre de l’Information et de la Propagande était d’ailleurs on ne peut plus explicite à ce propos :

  « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit ... »

  La récente apparition à New York  de la princesse Lalla Salma accompagnée de ses deux enfants le Prince héritier Moulay El Hassan et La Princesse Lalla Khadija a permis de balayer pratiquement tous les mensonges propagés jusqu’à l’heure.

   Discrédités, ces sites n’ont pas pour autant baissé les bras, essayant de forger d’autres théories, aussi enchevêtrées les unes que les autres, toujours aussi farfelues et invraisemblables.

      Mais qui donc se cache derrière ces officines  ? Difficile de le savoir étant donné que les « rédacteurs » de ces fake news usent de prête-noms, de pseudonymes, des détails qui, en plus, accréditent et accentuent la thèse d’un travail de propagandistes et non celui de journalistes.

 

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