
Dans un contexte de transition politique, où les attentes citoyennes appellent à une gouvernance plus inclusive, compétente et représentative, le nom de Tarek C. Baha émerge avec une force tranquille.
Son parcours exceptionnel, sa légitimité sociale et régionale, ainsi que sa vision stratégique en font un profil incontournable pour accompagner la Mauritanie dans sa nouvelle ère.
Avec plus de dix années d’expérience au sein de l’Ambassade des États-Unis à Nouakchott, il a joué un rôle central dans la consolidation des relations économiques et stratégiques entre la Mauritanie et les États-Unis. Il a dirigé des missions commerciales de haut niveau vers Houston, Dallas et Las Vegas, coorganisé les éditions du Dialogue Énergétique U.S.–Mauritanie (2022 = 2024), accompagné des réformes structurelles, et facilité la coopération entre gouvernements, institutions publiques et investisseurs privés. Expert en Partenariats Public-Privé (PPP), diplômé d’un Master en comptabilité et finance du Royaume-Uni, multilingue (français, arabe, anglais), il incarne une rare maîtrise des rouages de l’administration internationale et des leviers du développement local.
Né à Nouadhibou, issu des tribus Smassid (de Ouejeft) et Ouled Dleim, il représente une double appartenance nordique aujourd’hui absente du gouvernement. Son ancrage territorial, conjugué à son ouverture mondiale, lui confère une légitimité naturelle pour renforcer l’équilibre régional et promouvoir une Mauritanie unie dans sa diversité. Mais il incarne aussi une génération – celle des millennials mauritaniens – encore trop peu présente dans les sphères de décision : une génération instruite, connectée, pragmatique, et résolument tournée vers l’innovation.
Au-delà de ses actions de terrain, Tarek C. Baha est également un penseur stratégique, auteur du projet GEER – Gouvernance Efficace pour un Écosystème Rentable (2022), une contribution remarquée dans les cercles de réflexion économique et politique, qui plaide pour une réforme intelligente, durable et inclusive du modèle de développement mauritanien.
Sa nomination dans le futur gouvernement constituerait un acte fort de modernisation, de reconnaissance des compétences locales, et de rééquilibrage politique. Elle serait perçue comme une réponse aux aspirations citoyennes en faveur d’une représentation territoriale élargie, d’un souffle générationnel neuf, et d’un leadership compétent, enraciné et ouvert sur le monde.