Le Conseil des Ministres s'est réuni le Jeudi 28 Mars 2019, sous la Présidence de son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République.
Le Conseil a examiné et adopté les deux projets de lois suivants :
Deux blogueurs proches de l'opposition ont été inculpés mercredi de "dénonciation calomnieuse" envers le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et écroués, pour diffusion d'informations sur le gel d'avoirs présumés du chef de l'Etat à Dubaï, a-t-on appris auprès de leur avocat.
En Mauritanie, l’Alliance électorale de l’opposition démocratique, qui réunit 13 partis, pose des exigences pour participer à l’élection présidentielle du mois de juin prochain.
Le ministre de la défense nationale, M. Yahya Ould Hademine a effectué, mercredi à Nouakchott, une visite d’information à l’État-major général des armées pour s’enquérir des développements et améliorations successifs qu’a connus ce secteur ces dix dernières années.
Les travaux du troisième congrès du réseau des femmes élues localement en Afrique-section de la Mauritanie ont démarré mercredi à Nouakchott sous le thème de: "Notre participation politique, un gage de la réalisation des objectifs du millénaire en 2030".
Candidat à l’élection présidentielle 2019 en Mauritanie, l’ancien premier ministre Sidi Mohamed Ould Boubacar a fait une déclaration suivante sur la situation au Mali.
Le temps sera caractérise par un ciel peu nuageux à nuageux sur l’ensemble du pays avec probabilité de faibles pluies sur l’Assaba, le Tagant et le deux Hodhs. Les vents seront faibles à modérés, de secteur nord-ouest à sud-ouest avec une bonne pénétration d’air humide d’origine maritime sur le nord et l’Ouest du pays et de Nord-est sur le sud.
L’ancien patron des patrons mauritanien devenu un des principaux opposants au régime du président Aziz, Mohamed Bouamatou, soutient Abderrhamane Weddady et Cheikh Ould Jiddou, emprisonnés pour avoir dénoncé la corruption dans leur pays
Après près 59 ans d'indépendance, notre devise parvient à la caricature de la faillite. L'esprit et la lettre, ne font plus sens, dans les pratiques de gouvernance, surtout dès 1978. Des signes de la banqueroute retentissante, il semble pertinent de relever :