Les faux leaders, ministres, cadres et notables de l’UPR pètent les plombs avant les sévères corrections du Président Aziz

lun, 10/09/2018 - 11:17

L’Union Pour la République (UPR), le parti au pouvoir et également le parti créé par son Président Fondateur, Son Excellence le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz est globalement venu en tête des résultats des derniers scrutins relatifs aux élections législatives, municipales et régionales du 1er septembre courant.

 

Mais, ces résultats louables sont à inscrire au seul actif du Chef de l’Etat qui a sillonné, en pleine campagne électorale,  les capitales des wilayas de l’intérieur du pays pour mobiliser les troupes, appeler ses militants et sympathisants ainsi que ses soutiens pour voter pour l’UPR en mauvaise posture.

 

Certes il y a des ministres, cadres et notables de l’UPR qui ont abbatu un travail appréciable, mais ils se comptent sur les doigts d’une et ne constituent donc pas la Majorité fidèle à Son Excellence.

 

Ainsi pour dire, sans cette descente populaire du Président de la République, l’UPR ne serait qu’un éléphant aux pieds d’argile, facile à broyer pour la machine du Front de l’opposition, determiné à jouer toutes les cartes pour percer la forteresse Aziz.

 

Les résultats électoraux du parti auraient été incontestablement meilleurs voire capables d’assurer la Majorité écrasante et confortable chère à Ould Abdel Aziz dés le premier tour des élections.

Mais les fausses élites UPRistes susmentionnées et les personnalités infidèles du parti au pouvoir sont les principaux facteurs qui sont à l’origine des revers parfois humiliants et catatrophiques enregistrés par le parti du Président, qui aurait pu se dispenser d’un second tour, présentement inévitable au niveau de certaines circonscriptions électorales.

En effet, ces faux leaders, ministres, cadres et notables n’ont investi aucun sou et n’ont déployé aucun moyen physique ou moral pour sensibiliser leurs fiefs et leur électorat pour voter pour l’UPR, conformément au vœu du Président de la République.

 

Maintenant que les résultats sont connus et qu’ils sont en deçà des attentes, ils pètent les plombs, car les corrections que leur réservera le Président de la République à son retour de l’Asie seraient sévères autant que leur échec à hisser haut les couleurs de l’Union.

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