
Des analystes, des observateurs et des politiciens avertis, réputés pour avoir affirmé à plusieurs reprises que le président Aziz est l’artisan du candidat du Ould Ghazouani et que ce dernier était télécommandé par l’homme fort de Nouakchott, tant dans ses paroles que dans ses actes actuels et futurs, ont commencé à changer d’avis.